632 après Ford : désormais on compte les années à partir de l’invention de lavoiture à moteur. La technologie et la science ont remplacé la liberté et Dieu.La vie humaine, anesthésiée, est une suite de satisfactions, les êtres naissent invitro, les désirs s’assouvissent sans risque de reproduction, les émotions et lessentiments ont été remplacés par des sensations et des instincts programmés.La société de ce Meilleur des mondes est organisée, hiérarchisée et uniformisée,chaque être, rangé par catégorie, a sa vocation, ses capacités et ses envies,maîtrisées, disciplinées, accomplies. Chacun concourt à l’ordre général, c’està-dire travaille, consomme et meurt, sans jamais revendiquer, apprendre ouexulter. Mais un homme pourtant est né dans cette société, avec, chose affreuse,un père et une mère et, pire encore, des sentiments et des rêves. Ce « Sauvage », qui a lu tout Shakespeare et le cite comme une Bible, peut-il être un danger pour le « monde civilisé » ?
Durée : 08H50
© 1932, 1946 by Aldous Huxley © Plon, 1933, pour la traduction française, et 2013 pour la présente é © et (P) Audiolib, 2015
AVERTISSEMENT DE L'ÉDITEUR : Alain Damasio et l'éditeur ont créé une police exclusive par laquelle des personnages sont désignés dans le texte. Il est donc fortement recommandé d'utiliser la « police de l'éditeur » (ou « police d'origine ») dans les paramètres de texte de votre logiciel de lecture.
Ils sont là parmi nous, jamais où tu regardes, à circuler dans les angles morts de la vision humaine. On les appelle les furtifs. Des fantômes ? Plutôt l'exact inverse : des êtres de chair et de sons, à la vitalité hors norme, qui métabolisent dans leur trajet aussi bien pierre, déchet, animal ou plante pour alimenter leurs métamorphoses incessantes.
Lorca Varèse, sociologue pour communes autogérées, et sa femme Sahar, proferrante dans la rue pour les enfants que l'éducation nationale, en faillite, a abandonnés, ont vu leur couple brisé par la disparition de leur fille unique de quatre ans, Tishka - volatisée un matin, inexplicablement. Sahar ne parvient pas à faire son deuil alors que Lorca, convaincu que sa fille est partie avec les furtifs, intègre une unité clandestine de l'armée chargée de chasser ces animaux extraordinaires. Là, il va découvrir que ceux-ci naissent d'une mélodie fondamentale, le frisson, et ne peuvent être vus sans être aussitôt pétrifiés. Peu à peu il apprendra à apprivoiser leur puissance de vie et, ainsi, à la faire sienne.
Les Furtifs vous plonge dans un futur proche et fluide où le technococon a affiné ses prises sur nos existences. Une bague interface nos rapports au monde en offrant à chaque individu son alter ego numérique, sous forme d'IA personnalisée, où viennent se concentrer nos besoins vampirisés d'écoute et d'échanges. Partout où cela s'avérait rentable, les villes ont été rachetées par des multinationales pour être gérées en zones standard, premium et privilège selon le forfait citoyen dont vous vous acquittez.
La bague au doigt, vous êtes tout à fait libres et parfaitement tracés, soumis au régime d'auto-aliénation consentant propre au raffinement du capitalisme cognitif.
451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume.
Dans cette société future où la lecture est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres, dont la détention est interdite.
Le pompier Montag se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement poursuivi par une société qui désavoue son passé.
Dans les steppesglacées de l'Antarctique, le mythe des amants légendaires revisité par Barjavel. Un grand classique dela littérature, toujours en tête de liste des romans préférés des Français.Dans le grand silence blanc de l'Antarctique, les membres d'une mission des Expéditions polaires françaises s'activent à prélever des carottes de glace. L'épaisseur de la banquise atteint plus de 1 000 mètres, les couches les plus profondes remontant à 900 000 ans...
C'est alors que l'incroyable intervient : les appareils sondeurs enregistrent un signal provenant du niveau du sol. Il y a un émetteur sous la glace. La nouvelle éclate comme une bombe et les journaux du monde entier rivalisent de gros titres : " Une ville sous la glace ", " Un coeur sous la banquise ", etc. Que vont découvrir les savants et les techniciens qui, venus du monde entier, forent la glace à la rencontre du mystère ?
Reportage, épopée et chant d'amour passionné,
La Nuit des temps est tout cela à la fois.
Après deux années à sillonner les mers avec son équipage, le prince Thibault décide enfin de rentrer chez lui. Là-bas, sur son île natale, son père l'attend et compte sur lui pour régner sur le royaume de Pierre d'Angle après sa mort. Mais en chemin, une rencontre va bouleverser l'existence du Prince : un passager clandestin, Ema, une esclave en fuite. Ensemble, ils vont devoir faire face aux dangers qui guettent Pierre d'Angle. Premier tome d'une saga, Le royaume de Pierre d'Angle est un voyage bouleversant au coeur d'une histoire : celle d'une île, de son peuple et de leurs secrets.
2084. Orwell est loin désormais. Le totalitarisme a pris les traits bonhommes de la social-démocratie. Souriez, vous êtes gérés ! Le citoyen ne s'opprime plus : il se fabrique. A la pâte à norme, au confort, au consensus. Copie qu'on forme, tout simplement. Au coeur de cette glu, un mouvement, une force de frappe, des fous : la Volte. Le Dehors est leur pays, subvertir leur seule arme. Emmenés par Capt, philosophe et stratège, le peintre Kamio et le fulgurant Slift que rien ne bloque ni ne borne, ils iront au bout de leur volution - et même au delà, jusqu'à construire cette vie de partage, rouge, que personne ne pourra plus leur délaver. Premier roman de l'auteur de La Horde du Contrevent, la Zone est un livre de combat contre nos sociétés de contrôle (prix Utopiales européen 2007).
Vendu à plusieurs millions d'exemplaires dans le monde, sans cesse réédité depuis sa première parution et plusieurs fois adapté au cinéma, La Planète des singes, le chef-d'oeuvre de Pierre Boulle, est l'un des plus grands classiques de la science-fiction et du roman d'aventures. Y a-t-il des êtres humains ailleurs que dans notre galaxie ? C'est la question que se posent les trois passagers d'un vaisseau spatial survolant une planète proche de Bételgeuse : on y aperçoit des villes, des routes curieusement semblables à celles de notre Terre. Après s'y être posés, les voyageurs découvrent que cette planète est habitée par des singes qui vont les capturer et les soumettre à diverses expériences. Il leur faudra, devant ces singes, faire la preuve de leur humanité...
Un voile sombre s'est posé sur le royaume de Pierre d'Angle et les douces années semblent déjà bien lointaines. Un hiver extrême, une épidémie, des complots et cette ombre qui ne quitte plus les yeux de la reine plongent le tout nouveau roi Thibault et l'ensemble de ses sujets dans l'inquiétude. Tout le monde pressent la même chose : de grands bouleversements approchent et nul n'en ressortira indemne.
Situé dans les montagnes Rocheuses, l’Overlook Hotel est tenu pour être l’un des plus beaux lieux du monde. Beauté, confort, luxe, volupté... L’hiver, l’hôtel est fermé, coupé du monde par le froid, la neige, les glaces. Seul l’habite un gardien. Cet hiver-là, c’est Jack Torrance, un alcoolique qui tente d’échapper à l’échec et au désespoir. Il est venu accompagné de sa femme, Wendy, qui espère, grâce à cet isolement, reconstruire son foyer menacé, et de leur enfant, Danny.
Mais Danny possède le don de sentir, de voir, de ressusciter les choses et les êtres à jamais disparus. Dans les cent dix chambres vides de l’Overlook, le démon est omniprésent. Cauchemar ou réalité, le corps de cette femme assassinée, ces bruits de fête qui dérivent dans les couloirs, cette vie si étrange qui anime l’hôtel ?
Le roman culte de Stephen King, qui a fait frissonner des générations entières, arrive enfin en livre audio.
Durée : 14H49
(C) et (P) Audiolib, 2019 Publié aux États-Unis par Doubleday © 1977, Stephen King © 1979, Éditions Lattès
Première Loi : Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger.
Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres entrent en contradiction avec la Première Loi.
Troisième Loi : Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'entre pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi.
La mort du roi et l'éclatement politique qui s'ensuit plongent les primeautés de Brune dans le chaos.
Orphelin des rues qui ignore tout de ses origines, Syffe grandit à Corne-Brune, une ville isolée sur la frontière sauvage.
Là, il survit librement de rapines et de corvées, jusqu'au jour où il est contraint d'entrer au service du seigneur local. Tour à tour serviteur, espion, apprenti d'un maître-chirurgien, son existence bascule lorsqu'il se voit accusé d'un meurtre. En fuite, il épouse le destin rude d'un enfant-soldat
La florissante agence anti-psi Runciter & Associés protège ses clients contre toute intrusion psychique. Mais lors d'une mission sur Luna, ses meilleurs éléments sont victimes d'un attentat à la bombe orchestré par une agence rivale. Glen Runciter est aussitôt placé en semi-vie. Rapidement, Joe Chip et les autres survivants sont témoins de phénomènes étranges : le visage de leur patron apparaît sur les billets de banque, les cigarettes n'ont plus aucun goût, la technologie semble régresser. Et un produit nommé Ubik, qui possède de curieuses propriétés, surgit aux moments les plus opportuns...
Affronter des hordes de rats impitoyablesFaire alliance avec de stupides humainsCirculer sur un fil entre les buildings de New YorkDésamorcer une bombe atomique...
Franchement, si j'avais su, parole de CHAT, je n'aurais pas traversé l'océan.
« Un univers médiéval fantasmé d'une très grande richesse. De haute volée. »
Tzeentch - Elbakin
« Une écriture sublime qui n'a rien à envier à Hobb ou Rothfuss. Fans et non-fans du genre, foncez les yeux fermés. »
Robin Bouder - Actualitté
« Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas vécu en fantasy semblable mélange d'admiration technique et d'émerveillement émotionnel. »
Hugues Robert - Charybde
« Dewdney est le porte-étendard d'une génération dorée de jeunes auteurs qui dépoussièrent le genre. »
Lloyd Chéry - Le Point Pop
« Dans L'Enfant de poussière, on trouve du George Martin et du Robin Hobb mais aussi une saveur nouvelle, de liberté et de vent frais soufflant sur une oeuvre hors du commun. »
Paco Vallat - Un dernier livre avant la fin du monde
Le mouton n'était pas mal, avec sa laine et ses bêlements plus vrais que nature - les voisins n'y ont vu que du feu. Mais il arrive en fin de carrière : ses circuits fatigués ne maintiendront plus longtemps l'illusion de la vie. Il va falloir le remplacer. Pas par un autre simulacre, non, par un véritable animal. Deckard en rêve, seulement ce n'est pas avec les maigres primes que lui rapporte la chasse aux androïdes qu'il parviendra à mettre assez de côté. Holden, c'est lui qui récupère toujours les boulots les plus lucratifs - normal, c'est le meilleur. Mais ce coup-ci, ça n'a pas suffi. Face aux Nexus-6 de dernière génération, même Holden s'est fait avoir. Alors, quand on propose à Deckard de reprendre la mission, il serre les dents et signe. De toute façon, qu'a-t-il à perdre ?
Alain Damasio nous invite à la rencontre de grands "vivants", c'est-à-dire de grands claustrophobes, amoureux de l'air et de l'Ouvert. Champions de toutes les aérations, celles de l'espace, du son, des mots, du collectif, et de ce fait totalement libres, entrés en un jeu d'échos fou avec les mouvements du monde, ils tracent et suivent leurs lignes de fuite, tel le surfeur qui n'existe et ne consiste que dans la furtivité. Dix nouvelles par l'auteur de La Zone du Dehors et La Horde du Contrevent.
2033.
Une guerre a décimé la planète. La surface, inhabitable, est désormais livrée à des monstruosités mutantes. Moscou est une ville abandonnée. Les survivants se sont réfugiés dans les profondeurs du métropolitain, où ils ont tant bien que mal organisé des microsociétés de la pénurie.
Dans ce monde réduit à des stations en déliquescence reliées par des tunnels où rôdent les dangers les plus insolites, le jeune Artyom entreprend une mission qui pourrait le conduire à sauver les derniers hommes d'une menace obscure... mais aussi à se découvrir lui-même à travers les rencontres improbables qui l'attendent.
Nombre de mythes accompagnent l'univers du métro dans toutes les grandes villes.
Dmitry Glukhovsky en fait un thriller fantastique inoubliable, traduit dans le monde entier, qui s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires.
Au bout de dix heures de combat, quand j'ai vu la flotte du Chah flamber d'un bout à l'autre de l'horizon, je me suis dit : « Benvenuto, mon fagot, t'as encore tiré tes os d'un rude merdier ».
Sous le commandement de mon patron, le podestat Leonide Ducatore, les galères de la République de Ciudalia venaient d'écraser les escadres du Sublime Souverain de Ressine. La victoire était arrachée, et je croyais que le gros de la tourmente était passé. Je me gourais sévère.
Gagner une guerre, c'est bien joli, mais quand il faut partager le butin entre les vainqueurs, et quand ces triomphateurs sont des nobles pourris d'orgueil et d'ambition, le coup de grâce infligé à l'ennemi n'est qu'un amuse-gueule. C'est la curée qui commence. On en vient à regretter les bonnes vieilles batailles rangées et les tueries codifiées selon l'art militaire.
Désormais, pour rafler le pactole, c'est au sein de la famille qu'on sort les couteaux. Et il se trouve que les couteaux, justement, c'est plutôt mon rayon...
Un groupe de cinq cents personnes a été envoyé dans l'espace pour coloniser une autre planète. Dans un état de semi-conscience, elles suivent une éducation qui leur est dispensée par une intelligence artificielle. À trente ans, elles seront parfaitement formées pour appréhender leur nouveau monde. Mais après quinze ans seulement, une explosion à bord du vaisseau tue la majorité d'entre elles et détruit la plus grande partie de leurs vivres. Pire, les soixante jeunes rescapés qui se réveillent ne possèdent encore que les connaissances les moins utiles à leur survie. Nus, terrifiés, les adolescents tentent d'utiliser l'IA pour mettre sur pied leur colonie, mais les luttes de domination font bientôt leur apparition, et ils découvrent que leur pire ennemi n'est ni l'environnement hostile, ni l'IA, mais que ce sont leurs pairs.
La Guerre des mondes (The War of the Worlds) est un roman de science-fiction écrit par H. G. Wells, publié en 1898. C'est une des premières oeuvres d'imagination dont le sujet est l'humanité confrontée à une race extraterrestre hostile1, en sus d'être le reflet de l'angoisse de l'époque victorienne et de l'impérialisme.
L'histoire
| « (...) Par-delà le gouffre de l'espace, des esprits qui sont à nos esprits ce que les nôtres sont à ceux des bêtes qui périssent, des intellects vastes, calmes et impitoyables, considéraient cette terre avec des yeux envieux, dressaient lentement et sûrement leurs plans pour la conquête de notre monde (...) »
1894.
Des astronomes sont témoins d'étranges activités à la surface de Mars, comme des éclairs ou des explosions de gaz incandescent. L'étonnant phénomène se répète pendant les dix nuits suivantes puis cesse. Des météores venant de la planète rouge se dirigent bientôt vers la Terre. Le premier s'écrase en Angleterre, dans le Surrey : il s'agit d'un objet ayant la forme d'un cylindre de vingt-cinq à trente mètres. Les curieux se rassemblent autour du cratère formé par la chute du projectile, mais ils sont bientôt tués par un « rayon ardent » projeté par une machine gigantesque à trois énormes pieds sortie du cylindre...|
|Wikipédia|
Chaque jour, il doit organiser son existence solitaire dans une cité à l'abandon, vidée de ses habitants par une étrange épidémie. Un virus incurable qui contraint les hommes à se nourrir de sang et les oblige à fuir les rayons du soleil...
Chaque nuit, les vampires le traquent jusqu'aux portes de sa demeure, frêle refuge contre une horde aux visages familiers de ses anciens voisins ou de sa propre femme.
Chaque nuit est un cauchemar pour le dernier homme, l'ultime survivant d'une espèce désormais légendaire.
Le chef d'oeuvre de Mary Shelley dans une nouvelle traduction d'Alain Morvan.
Publié pour la première fois en 1818, Frankenstein ou le Prométhée moderne est considéré par beaucoup comme le premier véritable roman de science-fiction jamais écrit. Porté à l'écran à de nombreuses reprises, il connaît une nouvelle adaptation cinématographique en 2015.
"C'est alors qu'à la lueur blafarde et jaunâtre de la lune qui se frayait un chemin au travers des volets, je vis cet être vil - le misérable monstre que j'avais créé. Il soulevait le rideau du lit et avait les yeux - si l'on peut les appeler ainsi - fixés sur moi. Ses mâchoires s'ouvrirent et il bredouilla quelques sons inarticulés, tandis qu'un rictus ridait ses joues. Peut-être dit-il quelque chose, mais je ne l'entendis pas. Il tendit une main comme pour me retenir, mais je m'échappai et descendis précipitamment les escaliers. Je me réfugiai dans la cour de la maison que j'habitais ; j'y demeurai le reste de la nuit, marchant de long en large dans un état d'agitation extrême, écoutant attentivement, percevant et redoutant le moindre son, comme s'il devait annoncer l'approche de ce cadavre démoniaque auquel j'avais si malheureusement donné la vie."
En 2033, les humains ont été chassés de la surface, désormais inhabitable.
À Paris, les survivants se sont réfugiés dans les profondeurs du métropolitain. Des communautés sont installées au niveau de certaines stations de Rive Gauche, plus ou moins en contact, souvent en conflit ; la surface est crainte parce qu'irradiée ; Rive Droite est un lieu maudit, laissé à la merci d'une faune sauvage monstrueuse.
Dans les méandres des boyaux de Paris, à défaut de lumière, les émotions sont plus vives, les rancoeurs plus tenaces, les haines plus exacerbées. Une oeuvre sombre et baroque, en trois volumes : Rive Gauche, Rive Droite, Cité.
« Une épopée tourbillonnante. » Télérama
Le Maine, 1970. Ben Mears revient à Salem et s’installe à Marsten House, inhabitée depuis la mort tragique de ses propriétaires, vingt-cinq ans auparavant. Mais, très vite, il doit se rendre à l’évidence : il se passe des choses étranges dans cette bourgade. Un chien est éviscéré, un enfant disparaît, et l’horreur s’infiltre, se répand, aussi inéluctable que la nuit qui descend sur Salem.
« Salem est l’un de mes meilleurs romans, l’un des plus effrayants aussi. Alors, éteignez la télévision, et parlons vampires dans la pénombre, je pense pouvoir vous faire croire en leur existence. »
Stephen King
En bonus :
Deux nouvelles sur le village de Salem.
Une postface de l’auteur.
Durée : 20H09
© Stephen King, 1975 © Éditions Jean-Claude Lattès, 2006 © et (P) Audiolib, 2022