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The flame ; poèmes, notes et dessins
Léonard Cohen
- Seuil
- Fiction & Cie
- 11 Octobre 2018
- 9782021400625
Avant sa mort, survenue le 7 novembre 2016 à Los Angeles, Leonard Cohen a passé de longs mois à reparcourir ses carnets, nombreux et étalés sur des décennies, pour opérer une sélection de textes en bonne part inédits (poèmes, chansons, extraits de ses carnets de notes) qui, accompagnés de dessins marqués par
l'autodérision, composent le livre qu'il décide de laisser à la
postérité, comme un dernier cadeau plein de vie : plein de toute sa vie.
On retrouve bien sûr dans ces pages les thèmes de prédilection de celui qui a commencé sa carrière comme poète et romancier, avant de devenir aussi le musicien mondialement célébré qu'on connaît. Il est question d'amour, de passions, de jalousie et de peur de l'abandon, de flamme jamais éteinte, de sexualité, de relations entre les êtres, du temps qui passe et laisse ses traces, de religion aussi, d'aspiration à la sagesse, d'états dépressifs et mélancoliques toujours teintés d'humour.
Traduit de l'anglais (Canada) par Nicolas Richard
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Violette sur l'herbe à la renverse
Lana Del rey
- Seuil
- Romans étrangers (H.C.)
- 4 Mars 2022
- 9782021479935
« Violette sur l’herbe à la renverse est le poème qui donne son titre au recueil ; je l’ai écrit avant tous les autres. Certains me sont venus d’une traite ; je les ai enregistrés sur le moment puis tapés à la machine. Pour d’autres, ce fut plus laborieux ; j’ai pesé chaque mot pour aboutir au poème parfait. Ils sont tous très différents, sincères, ils n’essaient pas d’être autre chose que ce qu’ils sont et j’en suis fière car, lorsque je les ai écrits, j’étais au plus près de moi-même. » — Lana Del Rey
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Aurore Vincenti et Cécile Coulon -
En 2008, à la mort de sa femme Meitang, Rao Pingru entreprend de conjurer le deuil par l'encre et l'aquarelle en retraçant, in memoriam et en dessin, le destin de sa famille. Dans son appartement shanghaïen, le vieil homme se souvient du sel des jours qu'il a partagés avec Meitang et de leur vie rythmée par les battements d'une Chine en ébullition.
De sa petite enfance à son mariage avec celle qui porte aux lèvres " une touche d'écarlate ", de son engagement militaire lors de la guerre contre le Japon à son internement dans un camp de rééducation où il resta vingt ans, de l'établissement de sa famille à Shanghai à la maladie de son épouse, Rao Pingru restitue dans cette histoire les jours de fête comme les jours difficiles et livre une œuvre qui ne ressemble à aucune autre, une vie dessinée à l'échelle de la Chine.
À chaque page d'un récit à la fois tendre, grave et poétique, la petite et la grande histoire, la voix unique de Rao Pingru et la marche des évolutions politiques du pays se rejoignent, donnant à lire un témoignage fort sur la vie des héros ordinaires de la Chine du siècle passé ainsi qu'une magnifique histoire d'amour.
Tour à tour soldat, comptable et éditeur, RAO Pingru est devenu peintre et écrivain à l'orée de ses quatre-vingt-dix ans. Sa sagesse, son style simple et vif, son talent d'illustrateur en font un auteur inclassable.
Traduit du chinois par François Dubois
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Cela fait trente-cinq ans que je tiens des journaux intimes. J’y consigne mes réussites et échecs, mes joies, mes chagrins, les choses qui m’ont émerveillé et celles qui m’ont fait rire aux éclats. Trente-cinq ans à prendre conscience, à me souvenir, à me rendre compte, à comprendre, à rassembler et à griffonner ce qui m’a ému ou excité en route. Comment être juste. Comment moins stresser. Comment m’amuser. Comment moins blesser les autres. Comment être moins blessé. Comment être un type bien. Comment obtenir ce que je veux. Comment trouver un sens à la vie. Comment être plus moi-même.
Récemment, j’ai trouvé le courage de m’attaquer à ces journaux et de les relire en entier. Ce que j’ai trouvé ? Un catalogue d’histoires, de leçons que j’avais apprises et oubliées, de poèmes, de prières, de recommandations, de réponses à des questions que je me posais, de questions que je me pose encore, d’affirmations, de doutes, de professions de foi sur ce qui importe vraiment, de théories sur la relativité, et toute une ribambelle de slogans.
J’ai découvert ce qui, dans mon approche de la vie, m’avait donné le plus de satisfaction à l’époque et m’avait guidé. J’ai appelé ça attraper les feux verts. C’est un thème solide.
Donc j’ai pris mes journaux sous le bras et me suis offert un confinement en solitaire dans le désert, où je me suis mis à écrire ce que vous lisez à présent : un album, une trace, une histoire de ma vie jusqu’à ce jour.
Les choses que j’ai vues, rêvées, cherchées, données et reçues.
Les vérités explosives qui ont tellement court-circuité mon espace-temps que je n’ai pu les ignorer.
Les contrats que j’ai passés avec moi-même, que j’honore pour beaucoup, et dont pour la plupart je cherche encore à me rendre digne.
Voilà ce que j’ai vu, et comment – mon ressenti et mes trouvailles, mes moments de classe et de honte. Les grâces, les vérités et les beautés de la brutalité.
Les initiations, les invitations, les calibrages et transitions.
Les « je m’en sors à bon compte », les « je me fais choper », et les « je me mouille en essayant de danser entre les gouttes ».
Les rites de passage.
Ce livre raconte aussi comment choper les feux verts, réaliser que les feux orange et les rouges peuvent changer de couleur aussi.
Ce livre est une lettre d’amour.
À la vie -
Non loin de Londres, il y a un village. Ce village appartient à ceux qui vivent là aujourd'hui, et à ceux qui ont vécu là autrefois. Il appartient au passé mystérieux du pays comme à son présent criard et confus. Il appartient à Pete le Dingue, le peintre paria à la réputation sulfureuse; à la vieille Peggy, qui marmonne derrière son portail; à un petit garçon nommé Lanny, tendre et imprévisible, et à ses parents, qui jamais ne le trouvent lorsqu'il se cache au fond des bois ou de ses songes.
Mais ce village appartient aussi au Père Lathrée Morte, étrange créature protéiforme, croque-mitaine, légende folklorique et divinité païenne, qui veille sur les lieux – à moins qu'il ne fasse planer sur eux une sourde menace. Partout et nulle part à la fois, il s'immisce dans les maisons, dans la terre, dans les arbres. Et surtout, il écoute – sans cesse à l'affût de ces voix humaines qui affleurent, se heurtent, s'entremêlent, et dont le chaos lui est un festin. Et, parmi ces voix, il y a celle qu'il préfère entre toutes. Une voix différente. La voix d'un petit garçon. Lanny.
Ode à l'enfance et à l'imagination, portrait de nos joies les plus simples, de nos peurs les plus enfouies et de nos fragilités les plus intimes, le deuxième roman de Max Porter est un conte qui puise aux sources du merveilleux comme du plus trivial pour révéler l'invisible et inquiétante magie à l'œuvre dans nos vies.
traduit de l'anglais par Charles Recoursé
Max Porter a longtemps été éditeur pour la maison britannique Granta. Son premier roman, La douleur porte un costume de plumes (Seuil, 2016), traduit dans 29 pays, a été couronné par le International Dylan Thomas Prize, le Europese Literatuurprijs, le BAMB Readers' Award, et a été finaliste du Guardian First Book Award ainsi que du Goldsmiths Prize. Lanny est son deuxième roman. Max Porter vit aujourd'hui à Bath avec sa famille.
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Notre empreinte cachée ; tout ce qu'il faut savoir pour vivre d'un pas léger sur la Terre
Babette Porcelijn
- Seuil
- Anthropocène
- 24 Mai 2018
- 9782021400700
Plus des ¾ de notre empreinte écologique sont invisibles : la partie cachée de l'iceberg !
Découvrez l'impact environnemental qui se cache lorsque vous roulez en voiture – électrique ou non –, prenez l'avion ou les transports en commun ; mangez de la sauce tomate ou une belle tranche de bœuf ; quand vous portez un simple jean ou un tee-shirt, utilisez un ordinateur ou un téléphone portable ; quand vous prenez une douche ou montez l'un de vos meubles favoris, etc.
Un livre qui ouvre les yeux ! Richement illustré, il réunit infos, outils (à chacun de mesurer sa propre empreinte) et astuces. Babette Porcelijn nous guide joyeusement vers des choix plus responsables dans notre vie de tous les jours pour vivre d'un pas léger sur la Terre.
Graphiste, auteur et conférencière, Babette Porcelijn a une passion : préserver l'environnement. Elle est particulièrement douée pour transmettre des informations complexes de manière simple. Elle a étudié le dessin industriel à la Delft University of Technology et dirige son bureau de design à Amsterdam. Elle est mariée et a deux enfants.
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Adonis aime à présenter son Adoniada comme une autobiographie intellectuelle et poétique. Puisant dans une tradition arabe pré-islamique, il utilise la poésie dans une visée humaniste de tolérance et d'ouverture, sans jamais perdre le sens d'un lyrisme inspiré. Adoniada est tout à la fois une épopée qui raconte l'histoire mythique de la divinité du renouveau, Adonis, à qui le poète a emprunté son nom, et un témoignage bouleversant sur notre modernité. Beyrouth, Damas, Londres, Erevan, Shanghai, New York, Éphèse, Paris, autant d'étapes d'un voyage intérieur. Artaud, Baudelaire, Rilke : Rimbaud, Orphée, al-Mutanabbî, Confucius, Homère, Dante : autant de guides pour une descente dans l'enfer d'un monde dévasté et pour une élévation vers un rêve de lumière.
Ô papillon, toi le papillon, es-tu venu pour me prendre ?
Prends-moi, mon corps est une poignée de poussière, montre-toi et approche. -
Le livre III (al-Kitâb) ; hier le lieu aujourd'hui
Adonis
- Seuil
- Romans étrangers (H.C.)
- 5 Novembre 2015
- 9782021241372
" Mais, quelle est cette force obscure ? Et pourquoi le Mal ? Pour quelle raison n'avons-nous pas pu rompre avec "le bonheur du Mal' ? Pourquoi les vestiges doivent-ils être détruits ? Et pourquoi les femmes doivent-elles rester captives d'un système qui les avilit ? Quelle est cette violence sur quinze siècles dont Adonis nous trace ici les premiers de l'ère musulmane ? Comment la dimension du sacré a-t-elle triomphé de la pensée et de la mémoire collective ? "
Houria Abdelouahed
Les prophéties ont proclamé :
Ô croyants ! Abandonnez la poésie
Jadis, un disciple de Socrate stipulait :
La poésie n'embrasse que l'égarement et la folie.
Cependant, les gens n'ont pas écouté.
Les poètes ont poursuivi leurs chemins pareils aux prophètes
avec leurs génies. Comme eux, nous questionnons :
Que reste-t-il
en dehors de la poésie
sinon le chaos ?
Adonis
Ali Ahmad Saïd Esber est né, le 1er janvier 1930, à Qassabine en Syrie, dans une famille modeste. À dix-sept ans il publie un poème en empruntant au dieu phénicien Adonis, symbole de la renaissance végétale, son pseudonyme auquel il restera fidèle. Son œuvre a été couronnée de très nombreux prix littéraires, en France, en Italie, en Turquie et au Liban.
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Footlights, resté dans des cartons pendant 60 ans, est le seul roman jamais écrit par Chaplin. En cela, il est déjà exceptionnel. Mais la plume de Chaplin l'est tout autant : vivante, très personnelle, oscillant d'un registre familier à une grande poésie, elle sert à raconter ce qui deviendra la trame des Feux de la rampe, le dernier film américain de Chaplin. On y rencontre donc pour la première fois Calvero, clown alcoolique délaissé du public, qui sauve une jeune ballerine du suicide. Chaplin a mis beaucoup de lui dans ce personnage, alors qu'il est lui-même au crépuscule de sa carrière, accusé d'activités anti-américaines et bientôt exilé en Europe.
La publication de Footlights a été rendue possible grâce à David Robinson, critique de cinéma, historien, qui a travaillé avec la famille de Chaplin. Il enrichit sa présentation d'un appareil critique passionnant qui situe le roman à la fois dans l'époque, dans la filmographie de Chaplin, mais aussi dans son histoire intime. L'aventure commence en 1916 lorsque Chaplin rencontre Nijinsky, et se poursuit dans le quartier de Soho à Londres, avec ses théâtres et ses habitants. On y découvre l'ambiance féérique des ballets de l'Empire et de l'Alhambra, les théâtres de Leicester Square.
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« al-Kitâb est un voyage à travers l'histoire arabe, depuis la fondation du califat après la mort du prophète au VII° siècle (de l'ère chrétienne) jusqu'à la moitié du X° siècle. Voyage qui renouvelle la traversée de Dante dans La Divine comédie. Toutefois, contrairement à Dante, Adonis opte pour une description non du paradis et de l'enfer célestes, mais de l'enfer d'ici bas. Enfer où l'Arabe vivait, réfléchissait et écrivait.
Pour son odyssée , Adonis choisit al-Mutanabbî - le plus grand poète arabe - et tente de relater dans Le Livre-traversée, toute chose sur les Arabes en résonance d'une part avec les livres dits sacrés, de l'autre avec une vision mallarméenne. »
Houriya Abdelouahed
« Afin que je demeure étranger, lointain,
des paroles m'amenèrent vers leur demeure
De l'élixir de leur plantes m'abreuvèrent
Un temps-assis
tel un enfant sur mes genoux, afin de lire ce que trace
l'horizon
sur des cahiers volés
aux fissures du ciel. »
Adonis -
"Depuis qu'il écrit poèmes, romans, nouvelles, pièces de théâtre, livrets d'opéra, depuis qu'il peint, à l'encre de Chine, sur papier ou sur toile, des tableaux de toutes les tailles, mais jamais avec des couleurs, seulement avec les multiples nuances qui vont du blanc au noir, depuis qu'il filme, en plein air ou en studio, en couleur ou en noir et blanc, et crée des films muets ou parlant, depuis qu'il prononce des discours à l'invitation des musées, universités, associations artistiques et littéraires du monde entier, Gao Xingjian s'exprime en son nom propre, sans suivre les modes, en livrant son témoignage au sujet des difficultés existentielles que rencontrent les hommes depuis des temps immémoriaux, sans jamais penser que l'avenir pourrait être radieux, sans jamais croire aux discours des hommes politiques, des philosophes radicaux, des prophètes et des démiurges.
C'est un homme seul, qui n'appartient à aucune chapelle et qui se contente de livrer aussi bien sa vision du monde passé et du monde actuel que sa propre expérience artistique."
ND
préface et traduction du chinois par Noël Dutrait
L'oeuvre de Gao a été récompensée par le prix Nobel de littérature en 2000.
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Champ des oliviers, decouverte du monde (le)
Nabile Farès
- Seuil
- Cadre rouge
- 25 Juin 2015
- 9782021291254
"Exil de la pierre en ce monde. Où l'homme tue. Faisant voler la pierre, ou l'argile, là, au-dessus de nous, pour dire : Aucun lieu en ce monde... Aucun lieu... Que cette déflagration meurtrière de votre terre... Oui. Une peine à vivre. Qu'une folie à circonscrire... Qu'une mort à accomplir... Aucun lieu en ce monde... Votre pas et votre désir désaccouplés... Notre règne parmi les pierres, les herbes, et vos champs. Aucun lieu. Il n'existe aucun lieu en ce Monde."
Telle est l'Inscription de ce livre où s'affrontent, en une jalousie "sauvage", Vie et Mort, Amour et Haine, comme Mythe ou Meurtre au-dessus du Monde. Ouverture des deux premiers livres "Yahia, pas de chance" et "Un passager de l'occident", à une parole de l'Amin, le Vieux Maître, celui qui commandait, au village d'en-Haut, la Migration de la guerre. Aucun Folklorisme : deux parties : dont la première, voilant le nom, "L'Ogresse au nom obscur", énonce une sorte de jouissance-dévoration des territoires culturels, depuis les paroles du Vieux Monde aux "consécrations" religieuses ou, plus directement, littéraires; la seconde "Les Grives au nom diurne" accentue le heurt des deux Mondes - Ancien/Nouveau - celui provoqué par la Révolution industrielle et les conquêtes impérialistes, en différents points, lieux, du Pays - Algérie - où dès 1850, puis un siècle plus tard (1954), s'affirmait l'Indépendance "autrement". La découverte du Nouveau Monde est l'incision contemporaine : Le "champ des Oliviers" est l'espace qui brûle autant soi, la terre, que le livre."
Nabile Farès
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Si le premier livre, "Le champ des Oliviers", déployait le territoire d'une inscription concernant aussi bien l'histoire que la guerre d'Algérie, "Mémoire de l'Absent" restitue par et dans le langage la cassure mentale et sociologique d'un monde en pleine destruction.
Récit de la vie d'Abdenouar, de ses rapports avec les membres de sa famille ou d'un lycée d'Alger ; mythe touchant aux origines de la constitution arabo-berbère du Maghreb, ce deuxième livre, par l'intermédiaire des personnages de Jidda - la Vieille - et du Récitant, enracine ses pages et son propos dans les plus lointaines données de la mémoire collective. Telle est l'importance du récit de la mort de Kahéna, prise, comme celle d'Abdenouar, dans l'étendue du langage de l'Outre, métaphore par laquelle sont signifiés le passage, l'abondance, et l'écoulement de la vie.
Selon une lecture attentive, "Mémoire de l'Absent" est bien le deuxième livre de cette découverte du Nouveau Monde.
Nabile Farès
Né à Collo (Algérie) en 1940. Après avoir vécu en Espagne et en France, il enseigne actuellement à l'université d'Alger.
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Le roman Bab el-Oued m'a servi à exorciser les nombreuses frustrations vécues pendant le tournage de mon film Bab el-Oued City. En l'écrivant, j'éprouvais cette sensation de liberté dont j'étais privé en m'exprimant par la caméra, avec les contraintes que cela représente, surtout lorsqu'on tourne dans un milieu hostile, comme cela a été le cas. Quel bonheur de laisser l'écriture vagabonder, d'explorer en profondeur les personnages avec leurs rêves, leurs émotions, leurs contradictions ! Quel bonheur de pouvoir évoquer le riche passé et les atmosphères sensuelles de Bab el-Oued, ce quartier de mon enfance ! C'est pourquoi, bien que le sujet soit le même, le roman est totalement différent du film. J'ai mené ma chronique plus loin, mais en restant fidèle à ma façon, qui est celle d'un raconteur d'histoires. Ce qui advient en Algérie aujourd'hui, j'ai tenté de le faire sentir à travers des personnages et des situations du quotidien, en restant du côté des gens, avec leurs douleurs, leurs joies, leurs espoirs, confrontés à des événements dont ils sont à la fois les victimes et les acteurs.
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Le Lys et le Flamboyant
Henri Lopes
- Seuil (réédition numérique FeniXX)
- 8 Novembre 2018
- 9782021247244
Née à Brazzaville au temps des colonies, Simone Fragonard connaît un destin fabuleux, jusqu'à devenir l'égérie des mouvements révolutionnaires et la plus grande chanteuse africaine. Autour d'elle est évoquée, sans autre souci que d'être vrai, toute l'histoire de l'Afrique contemporaine. « Copyright Electre »