1928 à Perdido. Alors que le clan Caskey se déchire dans la guerre intestine et sans merci que se livrent Mary-Love et sa belle-fille, et tandis que d'autres crises - conjugales, économiques, existentielles - aux répercussions défiant l'imagination se profilent, dans les recoins sombres de la maison d'Elinor, la plus grande de la ville, les mauvais souvenirs rôdent et tissent, implacables, leurs toiles mortelles.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le troisième épisode de Blackwater, une saga matriarcale teintée de surnaturel avec un soupçon d'horreur.
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Tandis que la ville se remet à peine d'une crue dévastatrice, le chantier d'une digue censée la protéger charrie son lot de conséquences : main d'oeuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes.
Pendant ce temps, dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d'Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer.
Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi -addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le deuxième épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
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Tel un organisme vivant, le clan Caskey se développe et se transforme. Certains font face à la mort, d'autres accueillent la vie. Entre rapprochements inattendus, haines sourdes et séparations inévitables, les relations évoluent. Miriam, désormais à la tête de la scierie et noyau dur de la famille, ne cesse de faire croître la richesse. Suite à une découverte surprenante et miraculeuse - sauf pour une personne -, c'est bientôt la ville entière qui va prospérer. Mais cette soudaine fortune suffira-t-elle, alors que la nature commence à réclamer son dû ?
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Si le clan Caskey accuse le poids des ans, il est loin de s'être assagi : révélations écrasantes, unions insolites et réceptions fastueuses rythment leur vie dans une insouciance bienheureuse. Mais quelque chose surplombe Perdido, ses habitants et ses rivières. Le temps des prophéties est enfin venu.
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La guerre est finie, vive la guerre ! Une nouvelle ère s'ouvre pour le clan Caskey : les années d'acharnement d'Elinor vont enfin porter leurs fruits ; les ennemies d'hier sont sur le point de devenir les amies de demain ; et des changements surgissent d'où personne ne les attendait. Le conflit en Europe a fait affluer du sang neuf jusqu'à Perdido. Désormais les hommes vont et viennent comme des marionnettes sur la propriété des Caskey, sans se douter que, peut-être, leur vie ne tient qu'à un fil.
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Pâques 1919, alors que les flots menaçant Perdido submergent cette petite ville du nord de l'Alabama, un clan de riches propriétaires terriens, les Caskey, doivent faire face aux avaries de leurs scieries, à la perte de leur bois et aux incalculables dégâts provoqués par l'implacable crue de la rivière Blackwater.
Menés par Mary-Love, la puissante matriarche aux mille tours, et par Oscar, son fils dévoué, les Caskey s'apprêtent à se relever... mais c'est sans compter l'arrivée, aussi soudaine que mystérieuse, d'une séduisante étrangère, Elinor Dammert, jeune femme au passé trouble, dont le seul dessein semble être de vouloir conquérir sa place parmi les Caskey.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi ¬addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le premier épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
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La Ferme des Animaux [Animal Farm], publiée en langue anglaise en 1945, est l'un des livres les plus célèbres de George Orwell. Dans cette fable, Orwell décrit une révolte qui aboutit au renversement du fermier et à la prise du pouvoir par les animaux. Rapidement, le rêve égalitaire d'harmonie et de justice cède la place au doute puis au désarroi à mesure que se recrée une autocratie dirigée par les cochons, lesquels vont rapidement s'entretuer pour la place de chef et tyran.
George Orwell (1903-1950) est l'un des plus grands auteurs d'expression anglaise. Il a notamment écrit 1984et Hommage à la Catalogne. Toute son oeuvre traduit son aspiration au socialisme libertaire.
Une jeune femme de vingt-cinq ans perd la voix à la suite d'un chagrin d'amour, revient malgré elle chez sa mère, figure fantasque vivant avec un cochon apprivoisé, et découvre ses dons insoupçonnés dans l'art de rendre les gens heureux en cuisinant pour eux des plats médités et préparés comme une prière.
Rinco cueille des grenades juchée sur un arbre, visite un champ de navets enfouis sous la neige, et invente pour ses convives des plats uniques qui se préparent et se dégustent dans la lenteur en réveillant leurs émotions enfouies.
Un livre lumineux sur le partage et le don, à savourer comme la cuisine de la jeune Rinco, dont l'épice secrète est l'amour.
Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n'y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.Celle qui mène le bal, c'est la mère, imprévisible et extravagante. Elle n'a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l'inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte.L'amour fou n'a jamais si bien porté son nom.
Dans l'obscurité venteuse d'un monde ravagé par le feu nucléaire, une poignée de femmes et d'hommes tentent de survivre malgré l'inéluctable déclin de l'humanité. Mais, plus dangereux encore que le froid glacial, les terres stériles et les animaux sauvages, quelque chose rôde parmi les décombres - un être aux mille visages, une bête sournoise douée d'étranges pouvoirs. Swan Song de Robert McCammon, initialement publié en 1987 aux États-Unis et inédit en français, est l'oeuvre majeure d'un conteur exceptionnel et traverse les décennies aux côtés du Fléau de Stephen King, La Route de McCarthy ou Mad Max de Miller, pour nous donner à voir ce qui se cache de plus sombre sous le masque de la civilisation. Chevauchée sauvage dans la terreur, Swan Song est une fresque post-apocalyptique grandiose.
Robert McCammon, né en 1952, est l'auteur de plusieurs best-sellers (Zephyr, Alabama, Swan Song, Gone South) et d'une vingtaine de livres acclamés par la critique, vendus à plusieurs millions d'exemplaires à travers le monde. Il a reçu de nombreux prix, dont plusieurs Bram Stoker Award. Longtemps considéré comme un écrivain de genre, il prouve à partir de Zephyr, Alabama que sa force est de s'aventurer sur toutes sortes de territoires littéraires comme ses pairs Stephen King et Dan Simmons.
Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l'art difficile d'écrire pour les autres. Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l'encre, l'enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de voeux, rédige un mot de condoléances pour le décès d'un singe, des lettres d'adieu aussi bien que d'amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin. Et c'est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre des réconciliations inattendues.
Née en 1973, Ogawa Ito a écrit des livres pour enfants, des chansons pour le groupe de musique Fairlife, des textes pour des magazines de cuisine et de voyage, et des romans tous devenus immédiatement des bestsellers au Japon et en passe de le devenir en France.
A découvrir également aux Editions Philippe Picquier Le Restaurant de L'Amour Retrouvé, Le Ruban et Le Jardin Arc-en-Ciel.
L'apocalypse, c'est maintenant. Missiles et fusées se croisent dans le ciel et font s'abattre sur la terre des tornades de feu. Un vent terrible se lève, les poussières radioactives voilent le soleil, la vie telle qu'on la connaît va s'achever. Dans une plaine déserte du Kansas brûlée par le feu nucléaire, Black Frankenstein, une force de la nature, se voit confier une mission par un vieillard mourant : protéger une enfant au don particulier. Il n'est pas seul : dans les décombres d'un New York annihilé par les bombes, une clocharde couvertes de blessures découvre un étrange anneau de verre ; et, dans les ruines souterraines d'un camp survivaliste des montagnes de l'Idaho, un ado apprend à tuer. Plusieurs vies, plusieurs trajectoires, un seul but : survivre à la fin du monde.
Robert McCammon, né en 1952, est l'auteur d'une vingtaine de livres qui vont du roman historique à la dystopie en passant par le fantastique, et qui se sont vendus à plusieurs millions d'exemplaires. Il a reçu de nombreux prix, dont plusieurs Bram Stoker Award. Aux côtés de Spielberg, Zemeckis ou King, il fait parti de ces créateurs qui dans les années 1980 ont su façonné un imaginaire vif, libre et pétri de nostalgie qui irrigue aujourd'hui de grands pans de la culture populaire.
Désormais parents d'une charmante petite tribu, Anne et Gilbert ont quitté le cocon de Four Winds et entament un nouveau chapitre de leur vie dans une maison délicieusement patinée : la chaleureuse Ingleside, couvée d'arbres qu'on ne couperait pour rien au monde et où ne tardent pas à germer les bourgeons de l'affection. Avec Anne d'Ingleside, Lucy Maud Montgomery nous offre un roman foisonnant d'une poésie démultipliée par les nombreuses sensibilités qui l'habitent : que ce soit celle d'Anne, toujours aussi disposée à déceler le beau là où personne ne le chercherait, ou celles de ses enfants. Le livre est tout entier parcouru d'humour, de malice et surtout de tendresse, les pages qu'il renferme peinant à contenir tout l'amour et la dévotion qui abondent entre une mère et ses enfants.
« L'écriture a toujours été ma raison d'être. » Lucy Maud Montgomery [1874-1942] fait partie de ces auteurs qui, par-delà les embûches de la vie ont, en un seul livre, conquis des millions de lecteurs. Autrice canadienne la plus lue au monde grâce à Anne de Green Gables, elle a irrigué son oeuvre immense - plus d'une vingtaine de romans, 500 nouvelles et autant de poèmes - d'une énergie créatrice exceptionnelle qui continue d'inspirer des générations d'artistes et d'écrivains.
Lassée de participer au cirque social qu'elle observe quotidiennement à Montréal, Anouk quitte son appartement pour une cabane rustique au Kamouraska, là où naissent les bélugas. Encabanée dans le plus rude des hivers, elle apprend à se détacher de son ancienne vie et renoue avec ses racines. Couper du bois, s'approvisionner en eau, dégager les chemins, les gestes du quotidien deviennent ceux de la survie. Débarrassée du superflu, accompagnée par quelques-uns de ses poètes essentiels et de sa marie-jeanne, elle se recentre, sur ses désirs, ses envies et apprivoise cahin-caha la terre des coyotes et les sublimes nuits glacées du Bas-Saint-Laurent.
Gabrielle Filteau-Chiba écrit, traduit, illustre et défend la beauté des régions sauvages du Québec. Encabanée, son premier roman inspiré par sa propre vie dans les bois du Kamouraska, a conquis un vaste public ici et à l'étranger. Avec Sauvagines, son livre suivant (finaliste au prix France-Québec 2020), elle continue son exploration de la place de l'humain dans la Nature.
Médiocre : de qualité moyenne, qui tient le milieu entre le grand et le petit. La normalité, version péjorative, avec un arrière-goût de nullité.
Chez Guillaume Meurice, la médiocrité, ça remonte à loin. Dès l'école, il considère 10/20 comme la note parfaite, le « juste ce qu'il faut » qui a la poésie et la fragilité d'une barre effleurée par un sauteur en hauteur.
Depuis, il s'est rendu compte qu'il n'y a rien de plus émancipateur que la médiocrité : elle permet de faire ce qui vous plaît, pour le simple plaisir de le faire, pour la beauté du geste. Elle est un refus de la hiérarchie et un pied-de-nez à la quête de la performance.
Avec ce Petit éloge de la médiocrité, Guillaume Meurice n'a jamais si bien maîtrisé son sujet.
Guillaume Meurice est humoriste sur scène et à la radio, sur France Inter. Il est l'auteur de plusieurs romans dont Le roi n'avait pas ri (Lattès, 2021), dans lequel il narre l'histoire de Triboulet, bouffon à la cour du roi François Ier.
Guillaume Meurice est également médiocre, mais il le vit plutôt bien.
Avec la délicatesse d'écriture que nous lui connaissons dans ses précédents romans, Ogawa Ito nous entraîne dans une réflexion sur l'approche de la mort.
Le lion du titre désigne les pensionnaires de la « Maison du lion », un centre de soins palliatifs sur l'île aux citrons, dans la mer intérieure du Japon ; chacun des « hôtes » est invité, à la manière des lions, à sortir de la vie en convive rassasié et dans la plus grande liberté.
Le goûter est celui du dimanche où l'on sert un mets parmi ceux que les hôtes souhaitent savourer une dernière fois dans leur vie. On y partage des gâteaux, ses peurs et ses petits bonheurs pour attendre sa propre mort avec sagesse et sérénité.
Une lecture émouvante et un roman plein d'espoir dans lequel la plume d'Ogawa garde sa finesse et son humour.
Ogawa Ito est née en 1973. Elle chante, écrit des livres pour enfants, des articles pour des magazines de cuisine et de voyage. Son premier roman, Le Restaurant de l'Amour retrouvé, a été adapté au cinéma au Japon et est devenu un best-seller mondial (850 000 exemplaires au Japon). Il a reçu en France le prix Eugénie Brazier.
A découvrir également aux Editions Picquier : Le Restaurant de l'Amour retrouvé, Le Ruban, Le Jardin Arc-en-Ciel, La Papeterie Tsubaki, La République du bonheur.
Jeunes mariés, Anne et le désormais « docteur » Gilbert Blythe découvrent leur premier foyer : une adorable maison nichée entre la baie de Four Winds, un fabuleux rivage de rochers ocres et un bois de sapins plein de murmures. Toujours curieuse et passionnée, Anne va trouver entre les crêtes argentées, les embruns et la musique des vagues, les plus précieuses des âmes : Mademoiselle Cornelia et ses opinions tranchées, le merveilleux Capitaine Jim et ses mille histoires, ainsi que Leslie Moore, une beauté aussi froide que fascinante. Une maison de rêve, c'est là où résonnent les conversations intimes et les rires de nos amis, c'est un lieu où, entouré d'âmes échouées et magnifiques, on peut combattre la douleur et retrouver l'espoir, repousser les ombres et accueillir la vie.
« L'écriture a toujours été ma raison d'être. » Lucy Maud Montgomery [1874-1942] fait partie de ces auteurs qui, par-delà les embûches de la vie ont, en un seul livre, conquis des millions de lecteurs. Autrice canadienne la plus lue au monde grâce à Anne de Green Gables, elle a irrigué son oeuvre immense - plus d'une vingtaine de romans, 500 nouvelles et autant de poèmes - d'une énergie créatrice exceptionnelle qui continue d'inspirer des générations d'artistes et d'écrivains.
Frère et soeur inséparables, Bowman et Summer passent leur enfance en pleine nature, dans un ranch sauvage et isolé, élevés dans une discipline de fer par leurs oncles et leur père.
À l'âge adulte, ils choisissent des chemins différents : Summer reprend l'exploitation familiale, tandis que Bowman part vivre reclus dans la jungle du Costa Rica.
Mais, vingt ans après leur séparation, ils sont rattrapés par les affaires troubles de leur grand-père défunt et ne vont avoir d'autre choix que de se réconcilier face à la violence des cartels qui en veulent à leur héritage...
Pour ce deuxième roman, James A. McLaughlin confirme tout son talent et renoue avec ce qui a fait le succès de Dans la gueule de l'ours en alliant l'efficacité du thriller à la beauté du nature writing.
James A. McLaughlin a grandi en Virginie et habite en Utah. Photographe passionné de nature, il est également l'auteur de plusieurs essais. Son premier roman, Dans la gueule de l'ours, a été unanimement salué par la critique américaine.
Publié en France en janvier 2020 par les éditions Rue de l'échiquier, il a été lauréat du Grand Prix de littérature policière 2020 et a figuré dans la sélection finale du Grand Prix des Lectrices de Elle dans la catégorie « polar ».
Ses brillantes études universitaires terminées, Anne Shirley se voit confier la direction du lycée de Summerside, une petite bourgade de l'Île-du-Prince-Édouard, d'apparence paisible, mais qui va lui réserver bien des surprises. Elle nous fait tour à tour découvrir Windy Willows, la pension où elle va vivre pendant trois ans - ainsi que ses trois occupantes -, la petite Elizabeth, sa féerique voisine, Katherine Brooke, sa collègue désabusée, et ses élèves, qu'ils soient touchants ou tout à fait exaspérants. Avec un humour toujours plus fin, des envolées lyriques et nostalgiques, Anne de Windy Willows offre le portrait intimiste d'une jeune femme tout en nuances : généreuse et directe, fiancée, oui, mais surtout indépendante.
« L'écriture a toujours été ma raison d'être. » Lucy Maud Montgomery [1874-1942] fait partie de ces auteurs qui, par-delà les embûches de la vie ont, en un seul livre, conquis des millions de lecteurs. Autrice canadienne la plus lue au monde grâce à Anne de Green Gables, elle a irrigué son oeuvre immense - plus d'une vingtaine de romans, 500 nouvelles et autant de poèmes - d'une énergie créatrice exceptionnelle qui continue d'inspirer des générations d'artistes et d'écrivains.
Tous les livres que j'ai écrits ont été précédés d'une phase, souvent très longue, de réflexion et d'interrogations, d'incertitudes et de directions abandonnées. A partir de 1982, j'ai pris l'habitude de noter ce travail d'exploration sur des feuilles, avec des dates, et j'ai continué de le faire jusqu'à présent. C'est un journal de peine, de perpétuelle irrésolution entre des projets, entre des désirs. Une sorte d'atelier sans lumière et sans issue, dans lequel je tourne en rond, à la recherche des outils, et des seuls, qui conviennent au livre que j'entrevois, au loin, dans la clarté. Il y a quelque chose de dangereux, voire d'impudique, à dévoiler ainsi les traces d'un corps à corps avec l'écriture. Mais, en publiant ces pages, j'ai voulu porter témoignage de celle-ci, telle qu'elle se vit au jour le jour, dans la solitude.
Avec ce deuxième roman, Lucy Maud Montgomery continue de déployer sous nos yeux fascinés l'univers enchanteur qu'elle a créé autour d'Anne Shirley, l'orpheline idéaliste aux yeux clairs et aux cheveux roux adoptée par erreur. Entre les amis de toujours, qu'on aime retrouver, et les nouveaux venus, si intéressants, entre les idées saugrenues qu'on ne peut museler, et le bon sens qui, désormais, pointe son nez, Anne nous entraîne dans les aléas de la vie douce et enchanteresse d'un village un peu hors du temps. À travers les joies et les peines qui font la trame du quotidien, le style si frais et poétique de Lucy Maud Montgomery porte la voix d'Anne dans les péripéties, les rêveries et les moments de tendresse. Après Green Gables, quel plaisir d'enfin découvrir Avonlea !
« L'écriture a toujours été ma raison d'être. » Lucy Maud Montgomery [1874-1942] fait partie de ces auteurs qui, par-delà les embûches de la vie ont, en un seul livre, conquis des millions de lecteurs. Autrice canadienne la plus lue au monde grâce à Anne de Green Gables, elle a irrigué son oeuvre immense - plus d'une vingtaine de romans, 500 nouvelles et autant de poèmes - d'une énergie créatrice exceptionnelle qui continue d'inspirer des générations d'artistes et d'écrivains.
« L'écriture a toujours été ma raison d'être. » Lucy Maud Montgomery [1874-1942] fait partie de ces auteurs qui, par-delà les embûches de la vie ont, en un seul livre, conquis des millions de lecteurs. Autrice canadienne la plus lue au monde grâce à Anne de Green Gables, elle a irrigué son oeuvre immense - plus d'une vingtaine de romans, 500 nouvelles et autant de poèmes - d'une énergie créatrice exceptionnelle qui continue d'inspirer des générations d'artistes et d'écrivains.
« Ma mère s'emmerdait, elle m'a transformée en poupée. Elle a joué avec sa poupée pendant quelques années et la poupée en a eu assez. Elle s'est vengée. »
Olivier Bourdeaut est né au bord de l'Océan Atlantique en 1980. Il ne s'est pas attardé sur les bancs de l'école, il préférait lire et rêvasser. Il a ensuite travaillé quelques années dans l'immobilier, avant d'accumuler les petits boulots, allant de fiascos en échecs avec un enthousiasme constant. En 2016, il publie son premier roman, En attendant Bojangles (Finitude), qui devient un best-seller en quelques semaines. Son deuxième roman, Pactum salis (Finitude), paraît deux ans plus tard.
Anne Shirley, qui a désormais 18 ans, poursuit ses rêves d'études supérieures et d'envolées créatives. Et c'est en compagnie de Gilbert Blythe, Charlie Sloane et Priscilla Grant qu'elle découvre Redmond, l'Université de Kingsport en Nouvelle-Écosse. Au programme : cours, écriture, nouvelles rencontres et surtout, toutes sortes de mésaventures ô combien romantiques. Sans oublier les retours à Green Gables pour se ressourcer, entretenir les vieilles amitiés, garder sur le droit chemin un turbulent petit garçon... et recevoir sa première demande en mariage! Avec toujours autant de style et d'humour, Lucy Maud Montgomery signe de son écriture merveilleuse un charmant trésor littéraire à la fois poétique et tendre sur les joies et les peines du passage à l'âge adulte d'une fascinante jeune fille.
Lumineuse peinture des relations humaines au coeur des années 1960, Les Frères K nous emporte avec tendresse dans la famille Chance. Entre un père aux rêves brisés et une mère obsédée par la religion, entre sirènes de la liberté et fanatisme, chaque enfant doit choisir sa propre manière d'appréhender un monde plein de contradictions. Drôle, émouvante et superbement écrite, l'histoire de ces deux décennies d'amour, de colère et de regrets contée par David James Duncan est aussi frappante d'originalité que poignante d'universalité. OEuvre solaire qui nous accueille à bras ouverts et dans laquelle on se réfugie pour retrouver délicatesse et humanité, Les Frères K est une ode à la bonté capable d'adoucir les instants du quotidien et d'en révèler ses éclats éblouissants.
En 1965, David James Duncan a 13 ans, son frère John qui en a 17 décède des complications d'une intervention à coeur ouvert. Ce drame existentiel va traumatiser David et c'est en hommage à ce frère, fan de baseball, qu'il se lance dans l'écriture de son deuxième roman, avec l'envie de savoir comment John aurait abordé la Guerre du Vietnam. Il imagine alors trois grands frères imaginaires avec lesquels il va vivre les six années que prendront l'écriture de ce livre.