" J'ai écrit L'Année du Lion avec ferveur. C'est une histoire qui m'a obsédé pendant cinq ans. " Deon Meyer
" Chargé d'émotion et d'atmosphère. Il y a des accents du magnifique roman La Route, de Cormac McCarthy, mais L'Année du Lion est encore plus captivant. " The Times
Ils ont tué mon père.
Je les aurai.
Après la Fièvre qui a décimé les neuf dixièmes de la race humaine, mon père, Willem Storm, a fondé Amanzi, une nouvelle colonie, et l'a menée du chaos à l'ordre, de l'obscurité à la lumière, de la famine à l'abondance.
Je suis Nico Storm, formé par Domingo à l'art de tuer.
Je détestais mon père et je le vénérais.
Ils l'ont abattu à Witput, dans notre beau Karoo, en bordure de l'ombre effacée d'un cercle d'irrigation.
Je vais trouver ses tueurs et je le vengerai.
Ce qui suit est mon histoire.
Né en 1958 à Pearl, Afrique du Sud, Deon Meyer est l'auteur unanimement reconnu de dix best-sellers traduits dans une trentaine de pays. Avant de se lancer dans le polar, il a été journaliste, rédacteur publicitaire et stratège en positionnement Internet. Il vit à Stellenbosch, près du Cap.
Traduit de l'afrikaans et de l'anglais par Catherine Du Toit et Marie-Caroline Aubert
" J'ai écrit L'Année du Lion avec ferveur. C'est une histoire qui m'a obsédé pendant cinq ans. " Deon Meyer
" Chargé d'émotion et d'atmosphère. Il y a des accents du magnifique roman La Route, de Cormac McCarthy, mais L'Année du Lion est encore plus captivant. " The Times
Ils ont tué mon père.
Je les aurai.
Après la Fièvre qui a décimé les neuf dixièmes de la race humaine, mon père, Willem Storm, a fondé Amanzi, une nouvelle colonie, et l'a menée du chaos à l'ordre, de l'obscurité à la lumière, de la famine à l'abondance.
Je suis Nico Storm, formé par Domingo à l'art de tuer.
Je détestais mon père et je le vénérais.
Ils l'ont abattu à Witput, dans notre beau Karoo, en bordure de l'ombre effacée d'un cercle d'irrigation.
Je vais trouver ses tueurs et je le vengerai.
Ce qui suit est mon histoire.
Né en 1958 à Pearl, Afrique du Sud, Deon Meyer est l'auteur unanimement reconnu de dix best-sellers traduits dans une trentaine de pays. Avant de se lancer dans le polar, il a été journaliste, rédacteur publicitaire et stratège en positionnement Internet. Il vit à Stellenbosch, près du Cap.
Traduit de l'afrikaans et de l'anglais par Catherine Du Toit et Marie-Caroline Aubert
" Avec Deon Meyer, on ne peut pas se tromper. "
Michael Connelly
Traumatisé par le suicide d'un collègue, Benny Griessel replonge dans l'alcool. Sa supérieure hiérarchique le protège en confiant à son adjoint Cupido l'enquête sur le meurtre d'Ernst Richter, créateur d'un site qui fournit en toute discrétion de faux alibis aux conjoints adultères. Richter faisait chanter ses clients. Est-ce là une piste ? L'analyse des relevés d'appels de son portable, l'épluchage des comptes de sa start-up, les interrogatoires de ses employés, les perquisitions ne donnent rien. Les soupçons se portent aussi sur François du Toit, un viticulteur en faillite. Rien de probant. Les Hawks sont dans l'impasse. La solution surgira, contre toute attente, de l'esprit embrumé d'un Griessel au bout du rouleau.
Chaque roman de Deon Meyer aborde un sujet différent : ici, les vignobles du Cap et une technologie de pointe au service de l'enquête. Mais le facteur humain demeure déterminant et ses personnages sont plus poignants que jamais.
Né en 1958 à Pearl, Afrique du Sud, Deon Meyer est aujourd'hui l'auteur unanimement reconnu de dix best-sellers traduits dans vingt-cinq pays. Il a entraîné l'équipe de rugby de sa fac avant de devenir journaliste, rédacteur publicitaire, stratège en positionnement Internet et, plus récemment, réalisateur de films. Il vit à Stellenbosch, près du Cap.
Traduit de l'afrikaans par Georges Lory
Paul Anthony Morris, mystérieux client britannique de la guest-house d'un domaine viticole de Franschhoek, a disparu, et ses trois gardes ont été tués. Seul indice : des douilles de cartouches gravées d'une tête de cobra. Dès le début de son enquête, Benny Griessel se heurte à la réticence du consulat et de sa hiérarchie.
Au Cap, le jeune Tyrone Kleinbooi dérobe sous l'œil d'une caméra de surveillance le sac d'une touriste dans la marina du port. Alors qu'ils s'apprêtent à l'interroger, les agents de sécurité sont abattus méthodiquement par un tueur cagoulé qui laisse sur place des douilles gravées d'une tête de cobra.
Tyrone réussit à s'échapper en emportant son butin, mais quand, peu après, sa sœur Nadia est kidnappée, Benny le soupçonne d'être en possession d'un élément crucial.
Le tueur semble être un professionnel surnommé Kobra, mais pour qui travaille-t-il ?
Quand à Paul Anthony Morris, il se révèle être un brillant mathématicien, inventeur d'un logiciel permettant de repérer, dans les transactions financières mondiales, le parcours de l'argent sale issu du crime organisé et du terrorisme. Qui a commandité son enlèvement?
Véritable force de la nature, "P'tit" Mpayipheli s'est refait une vie honorable après sa mise au chômage par les services secrets sud-africains lorsque la fille d'un vieux camarade de lutte lui demande son aide: son père a été enlevé et ses ravisseurs menacent de le tuer si elle ne leur livre pas la rançon bien particulière qu'ils exigent. Que faire? Renouer avec un passé de meurtres et de corruption qu'il a eu du mal à mettre derrière lui pour sauver son ami ou le laisser tomber pour protéger sa nouvelle existence? Il n'hésite pas et les ennuis commencent: derrière le kidnapping, c'est en effet tout autre chose qui se joue et l'oblige à jouer son va-tout. Superbe course poursuite à travers une Afrique du Sud toujours en proie à ses vieux démons. L'Âme du chasseur a été salué comme un grand livre par le maître du policier américain Michael Connelly.
5 h 36 : au Cap, une Américaine gravit Lion's Head, paniquée. 5 h 37 : on appelle Benny Griessel et les inspecteurs sous sa tutelle - une fille a été égorgée. 7 h 02 : Alexa Barnard se réveille, encore saoule, à côté du cadavre de son mari. Passé 12 h 57 : ça tourne mal pour Griessel et ses hommes. Et à 18 h 37, les affaires sont classées. Treize heures ordinaires pour ces inspecteurs des homicides.