La colline inspirée

À propos

Ce roman, publié en 1913 décrit l'affrontement de deux mouvements religieux : le courant illuminé des "vintrasiens" et le courant plus traditionnel des fidèles à Rome. le premier, tenant sa raison d'être de la colline de Sion en terre lorraine, symbolise la liberté ainsi que la fidélité aux "racines". le second, tenant sa raison d'être de Rome et de l'évêque de Nancy, symbolise l'ordre et la soumission à l'autorité.
Un remarquable ouvrage, reconnu plus tard comme un ouvrage majeur par son intégration dans la « liste des meilleurs romans du demi siècle »

Rayons : Littérature générale > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    Maurice Barrès

  • Éditeur

    Digiscrib

  • Distributeur

    Immatériel

  • Date de parution

    04/03/2014

  • EAN

    9782370350077

  • Disponibilité

    Disponible

  • Action copier/coller

    Dans le cadre de la copie privée

  • Action imprimer

    Dans le cadre de la copie privée

  • Partage

    Dans le cadre de la copie privée

  • Diffuseur

    Immatériel

  • Entrepôt

    immatériel.fr

  • Support principal

    ebook (ePub)

Maurice Barrès

Après des études de droit à Paris, Maurice Barrès connaît à 26 ans un succès précoce avec le premier tome de sa trilogie 'Le Culte du moi'. Habitué des cénacles littéraires, il confirme son talent avec la suite de son premier opus avec 'Un homme libre' en 1889, et 'Le jardin de Bérénice' en 1891. Il se lance alors dans la politique : sa volonté d'anticonformisme et son esprit de rébellion le poussent à devenir boulangiste, et il est élu député de Nancy en 1889. Il s'impose ensuite comme chef de file des antidreyfusards, et s'oriente vers un nationalisme traditionaliste. En 1894, il fonde son propre journal, La Cocarde, et sera élu chef de la 'tribu des bourreurs de crâne' pendant la première guerre mondiale. Fondateur de la Ligue de la Patrie française en 1898, il ne cache pas dans ses textes ses penchants antisémites et xénophobes. Nommé député de Paris en 1906 - il le restera jusqu'à la fin de ses jours - il entre à l'Académie française la même année, et succède à Paul Déroulède à la tête de la Ligue des patriotes en 1914. Adversaire de Jaurès et des pacifistes lors de la première guerre, il voit en 1920 son projet visant à instituer une fête nationale pour Jeanne d'Arc adopté par la Chambre des députés. A sa mort en 1923, Maurice Barrès laisse inachevé le manuscrit 'Le mystère en pleine lumière'.

empty